Organization

Opéra Royal de Wallonie - Liège

Conductor

Romain Dumas

Stage director

Christian Lacroix

Set designer

Costume designer

Choreographer

Glyslein Lefever

Lighting designer

Bertrand Couderc

Singer

Baritone

Flannan Obé

Raoul de Gardefeu

Jérôme Boutillier

The Baron of Gondremarck

Tenor

Laurent Deleuil

Bobinet

Mezzo-soprano

Eléonore Pancrazi

Metella

Pierre Derhet

Gontran

The Brazilian

Frick

Philippe Estèphe

Urbain

Alfred

Soprano

Elena Galitskaya

Pauline

Spoken

Raphaël Bremard

Alphonse

Joseph

Prosper

Ingrid Perruche

Madame of Quimper-Karadec

Louise Pingeot

Clara

Marie Kalinine

Bertha

Caroline Meng

Madame of Folle-Verdure

Staging collaborators

Laurent Delvert

Romain Gilbert

Assistant Set designer

Philippine Ordinaire

Assistant Costume designer

Jean-Philippe Poncin

Michel Ronvaux

Assistant choreographer

Mikael Fau

Dancers

Arthur Roussel

Norma Nahoun

Gabrielle

Florie Valiquette

Rodolphe Briand

Marc Mauillon

Franck Leguérinel

Marion Grange

The Baroness of Gondremarck

Héloïse Mas

Carl Ghazarossian

Marie Gautrot

Émilie Eliazord

Anna Beghelli

Lili Felder

Keyla Ramos-Barea

Tigdy Château

Guillaume Zimmermann

Opéra Orchestre National de Montpellier

Opéra de Rouen Normandie

Opéra de Tours

Théâtre des Champs-Elysées

Others

Chœur Opéra National Montpellier Occitanie

Orchestra

Opéra de Limoges

Palazzetto Bru Zane

Assitant Lighting Design

Julien Chatenet

Choreographer Assistant

francia

La vie parisienne -  (Parisian Life)

Montpellier

France

Opéra Comédie

Salle Molière

Limoges

La vie parisienne

Public

Private

Parisian Life

Approved

Opéra-bouffe en cinq actes de Jacques Offenbach sur un livret d’Henri Meilhac et de Ludovic Halévy, créé le 31 octobre 1866 au théâtre du Palais-Royal (Paris...

The two librettists chose the title La Vie parisienne after the name of a recent magazine created in 1863 devoted mainly to "elegant morals", "things of the day" and theatrical life... As for Offenbach, he sings there the beauties and naughty pleasures of the City of Light, his adopted city

Book by Henri Meilhac and Ludovic Halévy
Gardefeu and Bobinet, inveterate seducers, are snubbed by the one they love, the demi-mondaine Métella. They will take revenge by seducing beautiful, wealthy aristocrats. Gardefeu, disguised as a guide from the Grand-Hôtel, takes care of Baron Gondremarck and his young wife who have come down to Paris to get drunk on Parisian life. A rich Brazilian is added to the fine team. An incredible and hilarious adventure is coming...

For Jacques Offenbach, conquering Paris was the fight of his entire career. We can no longer measure to what extent in his first Théâtre des Bouffes Parisiens the arguments praising the intoxication and the seduction of life in the heart of the cabarets and balls of the City of Light are numerous. It was then in 1866 that the masterpiece was born… La Vie parisienne , “a hymn, the most magical that has ever been sung to the glory of a city”, according to the journalist and sociologist Siegfried Kracauer.

Indeed, the work, equipped with a very summary argument, sings through its many dances and its most frivolous airs, the joy of the party, of carelessness and the most refined luxury... A mirror work of the a society of the Second Empire which, even if it loves this sensitive sensuality, keeps in mind a "puritanical" and naive morality. In La Vie parisienne , after the most audacious escapades, everything is back to normal and the couples reunite as if nothing had happened… then the sweet memory of sparkling champagne bubbles persists…

English

Livret d’Henri Meilhac et Ludovic Halévy
Gardefeu et Bobinet, séducteurs invétérés, sont snobés par celle qu’ils aiment, la demi-mondaine Métella. Ils se vengeront en séduisant de belles aristocrates fortunées. Gardefeu, déguisé en guide du Grand-Hôtel, s’occupe du baron Gondremarck et de sa jeune épouse descendus à Paris pour s’enivrer de la vie parisienne. Un riche Brésilien s’ajoute à la fine équipe. Une aventure rocambolesque et désopilante s’annonce…

Pour Jacques Offenbach, conquérir Paris fut le combat de sa carrière entière. On ne mesure plus à quel point dans son premier Théâtre des Bouffes Parisiens les arguments vantant l’ivresse et la séduction de la vie au cœur des cabarets et bals de la Ville Lumière sont nombreux. C’est alors en 1866 que le chef-d’œuvre voit le jour… La Vie parisienne, « un hymne, le plus magique qui ait jamais été chanté à la gloire d’une ville », selon le journaliste et sociologue Siegfried Kracauer.

En effet, l’œuvre, munie d’un argument très sommaire, chante à travers ses nombreuses danses et ses airs les plus frivoles, la joie de la fête, de l’insouciance et du luxe le plus raffiné… Une œuvre miroir de la société du Second Empire qui, même si elle raffole de cette sensualité à fleur de peau, garde à l’esprit une morale « puritaine » et naïve. Dans La Vie parisienne, après les frasques les plus audacieuses, tout rentre dans l’ordre et les couples se reforment comme si rien ne s’était passé… persiste alors le doux souvenir de bien pétillantes bulles de champagne…

français

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