Organization

Singer

Baritone

Levente Molnár

Macbeth

Soprano

Larisa Andreeva

Lady Macbeth

Tenor

Ivan Defabiani

Macduff

Mezzo-soprano

Marta Mari

Lady-in-waiting

Samuele Simoncini

Libretto

Francesco Maria Piave

Conductor

Daniele Callegari

Stage director

Daniel Benoin

Lighting designer

Set designer

Jean-Pierre Laporte

Costume designer

Nathalie Bérard-Benoin

Video designer

Paulo Correia

Bass

Giacomo Prestia

Banquo

David Astorga

Malcolm

A Servant of Macbeth

Geoffroy Buffière

Doctor

Dalibor Jenis

Silvia Dalla Benetta

Anthéa

Opéra Nice Côte d'Azur

Opéra de Saint-Étienne

Others

Nice Opera Choir

Orchestra

Nice Philharmonic Orchestra

Nice

France

Opéra de Nice

Macbeth Verdi

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Private

Approved

Shakespeare was an inexhaustible source of inspiration for romantic artists. Verdi is not mistaken, who will compose several masterpieces from his pieces, including the prodigious Otello and Falstaff .

In 1847, it's Macbethwhich fascinates him: the young composer sees in the diabolical Scottish couple the opportunity to break the codes of belcanto. His music will be terrible, dramatic, by turns dazzling and dark – like a painting by Caravaggio! It must be said that the subject is incredibly rich: Macbeth, a Scottish general, lets himself be dragged by his ambitious wife into a series of murders supposed to secure him the throne. But the dead and his guilt haunt him. Even his wife, the terrible Lady Macbeth, will eventually descend into madness – one of the finest pieces of bravery in all of romantic opera! But here, Verdi invents a new style, daring to ask his interpreters for a song that breaks completely with the customs inherited from Rossini, Bellini and other Donizetti. He wants rage to be heard, that the darkness of the soul of the protagonists is embodied in their song and in their voice. WithMacbeth , Verdi was already inventing all of modernity.

English

Opéra en quatre actes
Livret de Francesco Maria Piave d’après Shakespeare
Création au Teatro della Pergola de Florence le 14 mars 1847
Deuxième version au Théâtre Lyrique de Paris le 19 avril 1865

Shakespeare fut une inépuisable source d’inspiration pour les artistes romantiques. Verdi ne s’y trompe pas, qui composera plusieurs chefs-d’œuvre à partir de ses pièces, dont les prodigieux Otello et Falstaff.

En 1847, c’est Macbeth qui le fascine : le jeune compositeur voit dans le diabolique couple écossais l’occasion de casser les codes du belcanto. Sa musique sera terrible, dramatique, tour à tour fulgurante et sombre – comme un tableau du Caravage ! Il faut dire que le sujet est d’une richesse inouïe : Macbeth, un général écossais, se laisse entraîner par son ambitieuse épouse dans une série de meurtres censés lui assurer le trône. Mais les morts et sa culpabilité le hantent. Même son épouse, la terrible Lady Macbeth, finira par sombrer dans la folie – l’un des plus beaux morceaux de bravoure de tout l’opéra romantique ! Mais ici, Verdi invente un style nouveau, osant demander à ses interprètes un chant en totale rupture avec les usages hérités de Rossini, Bellini et autre Donizetti. Il veut que la rage s’entende, que la noirceur de l’âme des protagonistes s’incarne dans leur chant et dans leur voix. Avec Macbeth, Verdi inventait, déjà, toute la modernité.

français

Macbeth by Verdi, Od (2022/2022), Režie Daniel Benoin,, Dirigent Daniele Callegari, Opéra de Nice, Nice, France

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