Organization

Stage director

Pierre Thirion-Vallet

Costume designer

Véronique Henriot

Set designer

Frank Aracil

Lighting designer

Catherine Reverseau

Chorus master

Daniel Navia

Singer

Soprano

Erminie Blondel

Violetta Valery

Tenor

Matthieu Justine

Alfred Germont

Ahlima Mhamdi

Flora Bervoix

Bass

Guilhem Souyri

The Marquis of Obigny

Joseph Kauzman

Gaston

Mezzo-soprano

Noriko Urata

Annina

Jérémie Brocard

The doctor Grenvil

Conductor

Amaury du Closel

Baritone

Leonardo Galeazzi

George Germont

Cyril Englebert

Jiwon Song

Florent Karrer

The Baron Douphol

Barthélémy Martin

Assistant Stage Director

Marine Garcia-Garnier

Translator

David M. Dufort

Kristian Paul

Clermont Auvergne Opéra

Opéra de Reims

Others

Chœur l'Elca

Choir Opéra Nomade

Jeune Choeur d'Auvergne

Orchestra

Orchestre de l'Opéra de Reims

Opéra Nomade

Orchestra Les Metamorphoses

italiera

La Traviata -  (La traviata)

Versailles

France

Théâtre Montansier

Clermont-Ferrand

Maison de la Culture

Salle Jean Cocteau

Reims

La traviata Verdi

Public

Private

La traviata

frantsesa

Approved

Opéra de Giuseppe Verdi  Coproduction Clermont Auvergne Opéra /Opéra de Reims / Opéra Nomade 2022

Amore e morte ( love and death), such was the first title chosen by Verdi, and these two touchstones of our existence will be those of a staging conceived as a closed door where a "rogue" will struggle fiercely, the only person really alive, helpless assistant to his conviction. A large room with oversized gray walls, a door, the only way out, and a crowd, all dressed in black and white, gathered for this morbid feast - the next killing of a creature engendered by society and which believes it can take its freedom. Sickness and death will remind her that it is not she who decides her fate. Poor Violetta who in her forfeiture will find salvation and her ultimate victory in spite of everything because Alfredo will be hers for eternity. We will resolutely place ourselves in our time.

English

Amore e morte (amour et mort), tel était le premier titre choisi par Verdi, et ces deux pierres de touche de notre existence seront celles d’une mise en scène conçue comme un huis-clos où se débattra avec acharnement une « dévoyée », seule personne réellement vivante, assistant impuissante à sa condamnation. Une grande pièce aux murs gris démesurés, une porte, seule issue, et une foule, toute de noir et blanc vêtue, réunie pour cette fête morbide – la prochaine mise à mort d’une créature engendrée par la société et qui croit pouvoir prendre sa liberté. La maladie et la mort lui rappelleront que ce n’est pas elle qui décide de son sort. Pauvre Violetta qui dans la déchéance trouvera le salut et son ultime victoire malgré tout car Alfredo sera à elle pour l’éternité. On se placera résolument à notre époque, sous les parfums lourds des convenances et Violetta passera d’une théâtrale robe de haute-couture au dénuement quasi complet du dernier acte, en passant par le rêve éphémère et fleuri d’une possible vie normale à la campagne… Quelle folie de vouloir échapper à son destin ?

italiano

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