Name: Vfjo gaffigan zedginidze
Start: 2024-07-21T00:00:00.000Z
End: 2024-07-21T00:00:00.000Z
Location: Salle des Combins

Organization

Admin

Verbier Festival

Conductor

James Gaffigan

Instrumentalist

Pianist

Tstotne Zedginidze

Piano

Orchestra

Verbier Festival Junior Orchestra

Vfjo / gaffigan / zedginidze

Bagnes

Switzerland

Salle des Combins

Vfjo / gaffigan / zedginidze: Piano Concerto No. 1, Sz. 83 Bartók (+1 More)

Public

Piano Concerto No. 1, BB 91

Pictures at an Exhibition, arr. Maurice Ravel

Akshay C K

Approved

Bartók’s First Piano Concerto shocked its first audience in 1927 with its percussive dissonance – especially its tone clusters (chordal pile-ups), inspired by a 1925 encounter with the experimental American composer, Henry Cowell. Syncopation and repeat hammerings of a single note dominate the Allegro moderato. Strings drop out for the subdued central Andante with its Stravinskian ostinato rhythms and snaking woodwind counterpoint. This tips without a break into the Allegro molto finale, which hurtles furiously to an abrupt end. Originally an 1874 solo piano suite, and later transcribed into colourful orchestral creations by Ravel, Mussorgsky’s Pictures at an Exhibition was inspired by him visiting an exhibition of the works of his late friend, the artist Viktor Hartmann. Preceded and punctuated by ‘Promenades’ depicting Mussorgsky’s own heavy physique as he walks around, its ten character pieces begin with clumsily loping ‘Gnomus,’ believed to evoke a design for a nutcracker with large teeth. Further ‘pictures’ include ‘The Old Castle’ – a medieval troubadour – and ‘The Catacombs,’ whose sombre brass theme is based on the promenades. The climax is a majestic depiction of Hartmann’s bell-turret-topped design for ‘The Great Gate of Kiev.’

English

Le premier concerto pour piano de Bartók a choqué son premier public en 1927 par ses dissonances percussives, en particulier ses tone clusters, inspirés par une rencontre en 1925 avec le compositeur expérimental Henry Cowell. La syncope et les martèlements répétés d’une seule note dominent l’Allegro moderato. Les cordes s’effacent pour l’Andante central, avec ses rythmes ostinato stravinskiens et son contrepoint sinueux des bois. Le tout bascule sans transition dans l’Allegro molto final, qui se précipite furieusement vers une fin abrupte. Les Tableaux d’une exposition de Moussorgski ont été inspirés par la visite d’une exposition des œuvres de son défunt ami, l’artiste Viktor Hartmann. Initialement une suite pour piano solo datant de 1874, elle a été plus tard transcrite par Ravel pour créer une version plus enjouée. Les dix pièces de caractère sont encadrées par des « Promenades » décrivant la lourdeur physique de Moussorgski lors de ses déplacements. « Gnomus », le premier tableau, évoque maladroitement l’image d’un casse-noisette aux grandes dents. D’autres « tableaux » incluent « Le vieux château » – un troubadour médiéval – et « Les catacombes », dont le thème sombre des cuivres est issu des promenades. L’apothéose réside dans une représentation majestueuse de la conception du clocher-tourelle de Hartmann pour « La grande porte de Kiev »

français

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