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Vos critiques

6
OLYRIX

Dans le rôle-titre féminin (Didon), la jeune mezzo-soprano Amandine Portelli livre une prestation déjà bouleversante. À 19 ans, elle affiche une voix profonde et riche d’une grande maturité. Future Dalila certainement, elle n’oublie pour autant pas que le répertoire baroque exige une autre mesure de vibrato et de jouer avec l’acuité du placement vocal. Il en sort une voix plastique, souple et agile qui ne perd jamais son accroche, et donc, sa justesse. Dans la noirceur de ce timbre, dès les premières notes, le sort funeste de Didon est annoncé. Une première intervention qui résonne sans difficulté dans toute la salle, et sera confirmée sur toute l’étendue de la voix, jusque dans les aigus déchirants de l’air final (When I am laid in earth), évidemment très attendu.

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07 février 2023www.olyrix.comOlivier Delaunay
Ravel dansé Ravel chanté, l'enfance par la jeunesse à Garnier

Amandine Portelli assume toute la sensualité -et davantage- du duo félin passant avec vigueur vers la voix de poitrine, mais elle sait aussi passer du rôle de la Chatte à celui de l’Écureuil avec une voix nourrie de souffle et de dynamique.

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24 novembre 2023olyrix.comOlyrix - Charles Arden

Critiques de productions passés

2
Porgy and Bess, Gershwin
D: Emmanuelle Bastet
C: Salvatore Caputo
Première loge

Parmi les seconds rôles affutés se distinguent le ténor Mitesh Khatri (Sportin’Life – artiste du Chœur) et la pétillante mezzo bordelaise Amandine Portelli (Maria – élève au conservatoire de Bordeaux dans la classe de chant de Maryse Castets et membre de l’Académie de l’Opéra National de Bordeaux pour la saison 2022/2023)

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08 juillet 2023www.premiereloge-opera.comSabine Teulon Lardic
Dido and Aeneas, Purcell
D: Louise Brun
OLYRIX

Dans le rôle-titre féminin (Didon), la jeune mezzo-soprano Amandine Portelli livre une prestation déjà bouleversante. À 19 ans, elle affiche une voix profonde et riche d’une grande maturité. Future Dalila certainement, elle n’oublie pour autant pas que le répertoire baroque exige une autre mesure de vibrato et de jouer avec l’acuité du placement vocal. Il en sort une voix plastique, souple et agile qui ne perd jamais son accroche, et donc, sa justesse. Dans la noirceur de ce timbre, dès les premières notes, le sort funeste de Didon est annoncé. Une première intervention qui résonne sans difficulté dans toute la salle, et sera confirmée sur toute l’étendue de la voix, jusque dans les aigus déchirants de l’air final (When I am laid in earth), évidemment très attendu.

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07 février 2023www.olyrix.comOlivier Delaunay

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