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Varasemate toodangu ülevaated

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Il barbiere di Siviglia, Rossini
D: Rolando Villazón
C: Gianluca Capuano
Salzburger Pfingstfestspiele: Lustigkeit kennt keine Grenzen

Aus der Geburtsstadt des Gaudimax Mozart ist von einer wahren Flut der Heiterkeit zu berichten. Als erste Quelle dafür ist Cecilia Bartoli auszumachen. Die Heiterkeit der Vokalvirtuosin erinnert bekanntlich an ein munteres Bächlein, das blubbert, gluckst und sprudelt. Der zweite Zufluss: Rolando Villazón. Die Heiterkeit des Mexikaners ist druckvoller, kommt einer Fontäne, einem Hochstrahlbrunnen, einem Wasserwerfer gleich: umwerfend lustig! Wenn nun die quirlige Intendantin der Salzburger Pfingstfestspiele den quietschfidelen Intendanten der Salzburger Mozartwoche einlädt, an der Salzach eine der populärsten komischen Opern der Musikgeschichte zu inszenieren, dann muss das doch ein ziemlicher Kracher werden.

Loe rohkem
04 juuni 2022www.derstandard.atStefan Ender
L'italiana in Algeri, Rossini
D: Moshe LeiserPatrice Caurier
C: Gianluca Capuano
L’Italienne à Alger, un triomphe à l'Opéra de Zurich

Les nuances sont également la spécialité de Gianluca Capuano, qui organise un match vertueux entre les graves et les aigus de l’Orchestra La Scintilla. L’affrontement convoque un arsenal de sons lunaires, volontairement proches du désordre des intrigues amoureuses, où les contretemps ont des allures de contrechants. Le chef s’amuse avec les tempos, fignole sur mesure le fil des grandes phrases. Un son stéréo, des moyens multiples, et la garantie supplémentaire d’une soirée inoubliable !

Loe rohkem
17 märts 2022www.opera-online.comThibault Vicq
L’Italienne à Alger ou le triomphe d’Isabella (et des femmes)

Musicalement, c’est une réussite. Gianluca Capuano manie remarquablement les tempi sans jamais perdre le contrôle ou céder à un excès d’enthousiasme. L’Orchestre La Scintilla – la formation baroque de l’Opéra de Zurich – offre des couleurs éclatantes et un jeu théâtral : on se situe davantage dans la lignée de Mozart que dans la préfiguration de Verdi. Les « instruments turques » (triangle, chapeau chinois, cymbales, tambour) ressortent particulièrement dans l’ouverture, ce qui imprime d’emblée une dynamique particulière à l’œuvre. Ce n’est pas de la musique orientale qu’on entend dans ces coups de fanfare, mais bien toute l’ironie qui habite l’œuvre de Rossini. Le continuo, tenu au pianoforte par Enrico Maria Cacciari et non, comme on l’entend le plus souvent, au clavecin, offre une trame cohérente et créative, permettant aux airs, moments orchestraux ou récitatifs de se déployer en toute liberté, sans risquer de perturber l’homogénéité de l’œuvre.

Loe rohkem
27 märts 2022www.forumopera.comMaxime de Brogniez
Così fan tutte, Mozart
D: Francesco Micheli
C: Gianluca CapuanoFrancesco Pasqualetti
COMO, TEATRO SOCIALE: “COSÌ FAN TUTTE”

Altro ruolo assegnato tramite Concorso AsLiCo è la Despina della straordinaria Barbara Massaro, di cui una volta scoperta l’età (22) si rimane increduli per la maturità scenica e vocale che dimostra sul palco. Numerose le folli cadenze e variazioni concessele da Capuano nelle due arie “In uomini, in soldati” e “Una donna a quindici anni”, proposte in quantità esagerata ma pur sempre ben risolte dal soprano con sovracuti e picchiettati brillanti, a corredo di un fraseggio incisivo e voce sempre ben proiettata e squillante

Loe rohkem
15 oktoober 2016www.gbopera.itCamilla Simoncini
COMO – COSI’ FAN TUTTE 6 ottobre 2016

[...] dote questa assai rilevante in Barbara Massaro, soprano di cui si segue sin dagli esordi la carriera con speciale interesse. E’ già stata squisita Susanna, appena pochi mesi fa nella recita delle Nozze al Conservatorio milanese, ed ora è Despina scatenatissima, ma quel che più conta ineccepibile per linea di canto e gusto, abile nelle variazioni, felice nelle puntature acute ed, infine, godibilissima nei travestimenti da medico e notaio.

Loe rohkem
19 oktoober 2016impiccioneviaggiatore.iteatridellest.comAndrea Merli
Così fan tutte, Mozart
D: Francesco Micheli
C: Gianluca Capuano
https://www.connessiallopera.it/recensioni/2016/cremona-teatro-ponchielli-cosi-fan-tutte/

Barbara Massaro (22 anni) è una Despina eccezionale: la voce brillante, la dizione chiarissima e la pungente verve scenica sono i punti di forza del giovanissimo soprano, capace di prodursi in una delle caratterizzazioni più riuscite e divertenti di questo personaggio cui io abbia mai assistito.

Loe rohkem
31 oktoober 2016www.connessiallopera.itAndrea Dellabianca
La Cenerentola, Rossini
D: Sven-Eric Bechtolf
C: Gianluca Capuano
WIEN / Staatsoper: LA CENERENTOLA von Gioachino Rossini - 48. Aufführung in dieser Inszenierung

Ein Märchen als Traum? Warum nicht. Sven Eric Bechtolfs in den 50er Jahren im Minikönigreich Il Sogno (Der Traum) angesiedelte Inszenierung der Rossini-Oper ist zunächst vor allem eines: grell-bunt und schrill, kann aber immer wieder mit humorvollen Gags aufwarten, die das Publikum überraschen und zum Lachen reizen. Vor allem aber steht sie nie der simplen, dennoch durchaus effektvollen Handlung im Wege. Bechtolfs Personenführung ist immer nachvollziehbar und bietet den handelnden Akteuren genügend Spielraum zur Entfaltung ihrer stimmlichen und darstellerischen Fähigkeiten. Und diese sind in diesem Dramma giocoso – eigentlich eine Opera semiseria und ein Juwel des Belcanto – besonders gefragt. Eines gleich vorweg: Diese Aufführung in dieser Besetzung gibt keinerlei Anlass zur Klage!

Loe rohkem
13 jaanuar 2022onlinemerker.comManfred A. Schmid
Concert, Various
C: Gianluca Capuano
Cecilia Bartoli, diva virtuose en « tenue de castrat » La cantatrice italienne a fait le show à la Philharmonie de Paris dans un récital autour du répertoire de Farinelli

n craignait de la voir ap paraître en Conchita Wurst, telle que sur la po chette de son dernier disque, Farinelli (Decca). Mais c’est en sol datesque vénitienne, cheveux courts, bottes de cuir et redingote noires, que Cecilia Bartoli a débar qué avec domestique, accessoires et bagages sur la scène de la Phil harmonie dimanche 15 décembre. Le spectacle s'intitule Farinelli et son temps. Il enchaînera deux heures durant, sans temps mort, pièces instrumentales et airs d'opéras, tandis que la cantatrice change de perruque, de costume, de rôle et de sexe, pour terminer avec la spectaculaire «tenue de castrat » qu’elle portait déjà lors de la tournée de Sacrificium (2009), une immense robe rouge et or, ouverte sur un pantalon noir. Tout a été dit sur le tempéra ment de la diva italienne, la puissance de feu de sa virtuosité, son art unique d’habiter la musi que comme si elle la créait, avec cette stupéfiante maîtrise du souffle, ce luxe inouï de grains, de densités, de couleurs et de nuances. Une «Sinfonia», ex trait du Rinaldo de Haendel a précédé l’air de Porpora, Vaghi amori (« Belles amours »). Un dé but en forme de carte de visite, longue tenue aux limites du souffle, qu’anime une messa di voce habilement modulée avant le quasi-murmure d’une élégie funambule. L'« Entrée des son ges funestes» d’Ariodante, avec machine à vent et percussions, a introduit l'un des airs les plus poignants du répertoire baro que, le fameux Sposa, non mi conosci («Mon épouse, tu ne me reconnais pas ») de Giacomelli, plus connu dans la version re prise par Vivaldi dans son Bajazet. Grand moment d'exaltation «bartolien». Capricante nature Tourments, peine cruelle et fol es poir, la chanteuse explore la rhéto rique de l'amour. C'est en Cléopâ tre meneuse de revue des an nées 1930, fume-cigarette et plu mes d'autruche, qu’elle s'empare du Un sol tuo sospiro («Un soupir solitaire de ta part») de Hasse. Avant d’érotiser Haendel et son « V’adoro pupille (« Je vous adore pupilles»), préliminaire à la sau vage jouissance du Da tempeste (« Quand le bois brisé par les tem pêtes »), tous deux extraits de Giulio Cesare in Egitto, dont la reprise passera à la trappe, bousculé par la trompette insolente de Thibaud Robinne dans le Concerto per tromba, de Johann Friedrich Fasch. Date : 19 decembre 2019 Pays : FR Périodicité : Quotidien OJD : 269584 Page de l'article : p.9-10 Journaliste : MARIE-AUDE ROUX Page 2/2 Tous droits réservés à l'éditeur VERSAILLES 9475308500506 La Bartoli a dénoué sa chevelure pour aborder les impétuosités du Nobil onda de Porpora, donnant la pleine mesure de sa capricante nature. La cantatrice s'est entou rée des Musiciens du Prince, l’ex cellent ensemble baroque qu'elle a fondé au printemps 2016 à Mo naco (où elle prendra à partir de 2023 la direction de l'Opéra de Monte-Carlo). Sous la direction volubile et dévotionnelle de Gianluca Capuano, la seconde partie inclinera peu à peu vers des ardeurs moins charnelles. Un Concerto per flauto de Quantz (excellent Jean-Marc Gougeon) a préparé l'évocation du papillon amoureux grillé par la flamme (Quai farfalla, de Leonardo Leo), du cerf blessé que revivifie la fo rêt (Cervo in bosco, de Leonardo Vinci), et jusqu'au sublime la menta de Caldara, Quel buon pas tor, tiré de l’oratorio La Morte d’Abel, dont la sombre et sévère « Sinfonia » pour cordes a des al lures de musique funèbre. Mais déjà la «Danza» tirée d’Ariodante invite à la danse (Ce cilia Bartoli se fera prier avant de s’exécuter, façon flamenco), tan dis que les gazouillants oiselets de l’Augelletti, ehe cantate de Rinaldo, pépient de conserve avec le piccolo. Mais c’est l'amour de la musi que qui aura le dernier mot, en anglais, avec un magnifique ex trait de l'Ode for St. Cecilia’s Day -toujours Haendel. «Quelle pas sion la musique ne peut-elle susci ter et apaiser?» (What Passion Cannot Music Raise and Quell?), interroge la chanteuse qu'enve loppe le superbe violoncelle de Robin Michael, rappelant les beaux duos enregistrés en 2017 par la cantatrice avec Sol Gabetta dans Dolce Duello ? A 53 ans, la Bartoli a prouvé une fois de plus que le temps n’a pas de prise sur elle. Ni sur son public émerveillé et reconnaissant, dont la standing ovation recevra qua tre bis. Haendel encore et tou jours, avec un étourdissant Lascia la spina, chanté sur le souffle, avant la nouvelle déferlante du Nobil Onda de Porpora, progressi vement aspiré dans un désopilant accélérando général en forme de bouquet final. Pas de grève de transports pour Cecilia Bartoli

Loe rohkem
19 detsember 2019static1.chateauversailles-spectacles.frMARIE-AUDE ROUX
Alcina, Händel
D: Damiano Michieletto
C: Gianluca Capuano
Alcina

Not for one moment does the opera tire or bore the audience thanks to the dancers’ choreographies and video art projection onto the screen that render the idea of a magical world. However, it was the quality of the singers and orchestra that ensured the success of the performance. First of all, Cecilia Bartoli, in the title roles, gave an intense unforgettable interpretation, her Alcina was touching, needy, her fear of getting old and losing her power and charm was delivered with the hues of her voice as well as the acting. Philippe Jaroussky was a credible undecisive Ruggiero from the beginning when he was under the spell to the end when he finally finds the courage to break the spell. Sandrine Piau was an amazing Morgana, her coloratura was pure and her acting was very apt to the comic role of this character, Kristina Hammarström gave us a really great interpretation of Bradamante in her resolution to free Ruggiero. The rest of the cast was equally fine, including the young Sheen Park of the Vienna Boys Choir in the difficult role of Oberto. The conductor Gianluca Capuano and the orchestra Les Musiciens du Prince-Monaco are specialist of the baroque repertoire and performed the difficult score with minute attention to details. The show was an amazing experience throughout and, except for a few members of the audience who were clearly nostalgic for old baroque productions, it was greatly appreciated.

Loe rohkem
14 august 2019playstosee.comAlessandro Zummo
Che originali!, Mayr
D: Roberto Catalano
C: Gianluca Capuano
Per Donizetti è (finalmente) la volta buona

Comunque non è chiaro se si sia riso tanto per merito della coppia Rossi-Mayr o del regista Roberto Catalano, che avrà sì o no trent’anni e non li dimostra affatto. Il suo spettacolo in realtà è semplicissimo, scena fissa, nessun effetto speciale: ma tutti recitano da padreterni, le trovate sono continue, non c’è una gag che non vada a segno. Ne risulta una specie di commedia all’italiana piena di brio e d’ironia, di grazia e di divertimento: chapeau al regista ragazzino

Loe rohkem
05 detsember 2017www.lastampa.itAlberto Mattioli
Iphigénie en Tauride, Gluck
D: Andreas Homoki
C: Gianluca CapuanoCarrie-Ann Matheson
FIFTY SHADES OF BLACK: IPHIGÉNIE IN ZÜRICH

Frédéric Antoun overlaadt ons daarentegen met tenorale finesse. De Canadees belichaamt de jonge held Pylade zowel scenisch als vocaal volledig geloofwaardig.

Loe rohkem
18 veebruar 2020www.operamagazine.nlAlessandro Anghinoni