Name: Klaus Mäkelä Christiane Karg
Start: 2024-05-17T00:00:00.000Z
End: 2024-05-17T00:00:00.000Z
Location: Philharmonie de Paris

Admin

Cité de la Musique-Philharmonie

Orchestra

Musiciens de l'Orchestre de Paris

Instrumentalist

Klaus Mäkelä

Cello

Cellist

Cello I

Singer

Mezzo-soprano

Christiane Karg

Mezzo-Soprano

Soprano

Klaus Mäkelä / Christiane Karg

Paris

France

Philharmonie de Paris

Salle Des Concerts

Public

Adagio e Rondo concertante, D.487

String Sextet No. 1 in B♭ major, Op. 18

Ophelia-Lieder, WoO. 22 (Arr. Aribert Reimann)

Der Hirt auf dem Felsen, D. 965

Paul Koneri

Approved

From Schubert’s beloved forest landscape to the river currents that become Ophelia’s watery grave, this programme dedicated to Schubert and Brahms draws us into the depths of the romantic wilds.

Schubert’s first composition for strings and piano, the Adagio e rondo concertante (1816) was composed for the cellist Heinrich Grob, the brother of Therese Grob, then the object of Schubert’s unrequited love. The cello of Klaus Mäkelä replaces the clarinet in a transcription of the famous Shepherd on the Rock (1828), a work of melodic splendour evoking a solitary wanderer immersed in nature, that transports us into the story of a novel by Eichendorff.

Nature is also at the centre of Brahms’ Ophelia-Lieder, in the river and flowers that cling to the hair of ‘pale Ophelia’, a fascinating melodic vision of Hamlet’s fiancée, whose madness and tragic death also inspired Berlioz and Richard Strauss, among others. Brahms’ ‘Springtime’ piece, String Sextet No. 1 (1860), is a work of noble simplicity, in four movements—the first two of which will conjure memories of Louis Malle’s The Lovers for those who know the film.

English

Du paysage de la forêt initiatique cher à Schubert aux eaux apaisant pour l’éternité la folie d’Ophélie, c’est dans les profondeurs du sentier romantique que nous entraîne ce programme dédié à Schubert et Brahms.

Première composition de Schubert pour cordes et piano, l’Adagio e rondo concertante (1816) a été écrit à la demande du violoncelliste Heinrich Grob, frère de Thérèse Grob, dont Schubert était alors vainement épris. Au violoncelle, Klaus Mäkelä remplace la clarinette dans une transcription du célèbre Pâtre sur le rocher (1828) dont la splendeur mélodique, évoquant l’errance du solitaire au sein de la nature, nous transporte entre les pages d’un roman d’Eichendorff.

La même nature, rivière et fleurs, s’accrochent aux cheveux de la « pâle Ophélie » dans les Ophelia-Lieder de Brahms, passionnante vision mélodique de la fiancée d’Hamlet, dont la folie et la mort ont aussi inspiré, entre autres, Berlioz et Richard Strauss. Parfois surnommé « du printemps », le Sextuor à cordes n° 1 (1860) de Brahms est une œuvre à la noble simplicité, en quatre mouvements, dont les deux premiers évoqueront des souvenirs aux spectateurs du film Les Amants de Louis Malle.

français

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