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Opéra de Toulon

Teatro Regio di Parma

Teatro Comunale di Bologna

Teatro Massimo di Palermo

Opéra Orchestre National de Montpellier

Reżyseria

Scenografia (+3)

Yannis Kokkos

Scenografia

Dyrygent

Dyrygent (+2)

Victorien Vanoosten

Choreograf

Marta Bevilacqua

Kostiumy

Kostiumy (+1)

Paola Mariani

Reżyseria światła

Reżyseria światła (+2)

Giuseppe di Iorio

Wideo

Wideo (+2)

Sergio Metalli

Dramaturgia

Annick Blancard

Bas (+3)

Jacques-Greg Belobo

Il Marchese di Calatrava

Sopran (+1)

Yunuet Laguna

Donna Leonora

Baryton (+2)

Stefano Meo

Don Carlo di Vargas

Mezzosopran (+3)

Eléonore Pancrazi

Preziosilla

Bas (+2)

Vazgen Gazaryan

Padre guardiano

Baryton (+1)

Leon Kim

Fra Melitone

Tenor (+1)

Yoann Le Lan

Mastro Trabuco

Mezzosopran (+2)

Séraphine Cotrez

Curra

Orchestra

Toulon Opera Orchestra

Chorus

Toulon Opera Choir

Zenith De Toulon

Chœur Opéra National Montpellier Occitanie

Tenor

Samuele Simoncini

Don Alvaro

Le meurtre accidentel du père de haute noblesse par l’amant de « sang mêlé », la fuite au désert de l’orpheline poursuivie par la vengeance implacable de son frère qui la tuera pendant qu’elle prie dans la solitude : telle est la trame de cette œuvre monumentale. Sur les champs de bataille d’Italie, elle enrôle une cantinière à la Offenbach; en Espagne, un moine bouffe et son Supérieur, parangon de clémence dans un monde erratique. C’est le ténébrisme espagnol de cette fresque mêlant tragique et burlesque qui lui donne cette odeur de soufre, de poudre et de sang.

Direction musicale Victorien Vanoosten 

Mise en scène et décors Yánnis Kókkos

Chorégraphie Marta Bevilacqua

Costumes Paola Mariani

Lumières Giuseppe di Iorio

Vidéo Sergio Metalli

Dramaturgie Annick Blancard

 

Orchestre et Chœur de l’Opéra de Toulon

Marquis de Calatrava Jacques-Greg Belobo

Donna Leonora Yunuet Laguna

Don Carlo di Vargas Stefano Meo

Don Alvaro Konstantine Kipiani

Preziosilla Éléonore Pancrazi

Père Guardiano Vazgen Gazaryan

Frère Melitone Leon Kim

Maître Trabuco Yoann Le Lan

Curra Séraphine Cotrez

Recenzje