Organization

Festival Palazzetto Bru Zane à Paris

Chanteur

Ténor

Stanislas de Barbeyrac

Licinius

Tassis Christoyannis

Cinna

Basse

Nicolas Courjal

Le Souverain Pontife

Soprano

Marina Rebeka

Julia

Mezzo-soprano

Aude Extrémo

La Grande Vestale

Direction d'orchestre

Christophe Rousset

Direction de choeur

Thomas Tacquet

David Witczak

Un consul

Le chef des Aruspices

Choir conductor

Les Talens Lyriques

Théâtre des Champs-Elysées

Others

Chœur de la Radio Flamande

Orchestra

Les Talens Lyriques Chœur de la Radio Flamande

Palazzetto Bru Zane

français

La vestale

Paris

France

Théâtre

Public

Private

anglais

Valide

Guilty of allowing the sacred fire in the temple of Vesta to be extinguished while she declared her love for General Licinus, Julia is to be executed when divine intervention occurs. If the plot of the libretto relies on simplicity, it favours both the psychological depth of the protagonists and the transparency of political allusions. How can one not assimilate, in this opera dedicated to Josephine, the character of Licinus to Napoleon Bonaparte? More than a work of propaganda, La Vestale is, thanks to Spontini's score, one of the links between the operatic tragedy of the Ancien Régime and the grand opera genre. The work requires the presence on stage of an exceptional soprano: the young Latvian soprano Marina Rebeka takes up the challenge by playing Julia after Caroline Branchu at the premiere in 1807 and Maria Callas in 1954 at La Scala.

English

Coupable d’avoir laissé s’éteindre le feu sacré du temple de Vesta tandis qu’elle déclarait sa flamme au général Licinus, Julia doit être exécutée, lorsque s’immisce une intervention divine. Si l’intrigue du livret mise sur la simplicité, elle privilégie à la fois la profondeur psychologique des protagonistes et la transparence des allusions politiques. Comment ne pas assimiler, dans cet opéra dédié à Joséphine, le personnage de Licinus à Napoléon Bonaparte ? Plus qu’un ouvrage de propagande, La Vestale s’impose grâce à la partition de Spontini comme l’un des traits d’union reliant la tragédie lyrique d’Ancien Régime au genre du grand opéra. L’œuvre exige la présence sur scène d’une soprano d’exception : la jeune soprano lettone Marina Rebeka relève le défi en incarnant Julia après Caroline Branchu lors de la création en 1807 et Maria Callas en 1954 à La Scala.

Crédits de représentation (Distribution et équipe de production )

Distribution

Équipage

Ensemble

Coproducteur