Name: Nobuyuki Tsujii
Start: 2024-07-21T00:00:00.000Z
End: 2024-07-21T00:00:00.000Z
Location: Eglise de Verbier

Admin

Verbier Festival

Nobuyuki Tsujii

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Bagnes

Suiza

Eglise de Verbier

Nobuyuki Tsujii: French Suite No.5 in G major, BWV 816 Bach, Johann Sebastian (+3 More)

Public

French Suite No.5 in G major, BWV 816

Années de pèlerinage II, Supplément, S.162

Pavana para una infanta difunta

Concert Etude, op. 40 no. 8 "Finale"

Akshay C K

Válido

Bach’s sunny and melodic French Suite No. 5 moves from a gentle Allemande to a lively Courante, an expressive Sarabande, a perky Gavotte and a nimble Bourée. The concluding Gigue is then preceded by France’s slow version of this dance, a Louré. Liszt’s three Venezia e Napoli pieces of 1859 draw on other composers’ responses to Italian folk music. Serene Gondoliera and brooding Canzone were gondolier songs by Peruchini and Rossini. Canzone then rolls seamlessly into the darkly glittering Tarantella on themes by Guillaume-Louis Cottrau. The title of Ravel’s 1899 Pavane pour une infante défunte sounds dark, but far from being a lament for a dead princess, it evokes the sort of pavane possibly danced by one of the Spanish princesses painted by Velázquez. Kapustin celebrates America’s jazz riches across his rhythmically complex and technically formidable concert etudes of 1985; further influences include, in ‘Reverie’ No. 2, Chopin.

English

La sublime Suite française N° 5 de Bach navigue d’une douce Allemande à une Courante animée, puis à une Sarabande exubérante, une Gavotte enjouée et enfin une Bourée agile. La Gigue finale est précédée de la version lente de cette danse en France, le Louré. Les trois pièces Venezia e Napoli de 1859 de Liszt s’inspirent de l’influence d’autres compositeurs sur la musique folklorique italienne. La sereine Gondoliera et la sombre Canzone sont des chansons de gondoliers composées par Peruchini et Rossini. La Canzone s’enchaîne ensuite sans heurt à la sombre et scintillante Tarentelle sur des thèmes de Guillaume-Louis Cottrau. Le titre de la Pavane pour une infante défunte de Ravel (1899) semble sinistre mais il est loin d’être une complainte pour une princesse défunte et évoque le style de pavane dansée par l’une des princesses espagnoles peintes par Velázquez. Pour finir, les études de concert de Kapoustin de 1985 rendent hommage à la grandeur du jazz américain avec des compositions à la fois rythmiquement complexes et techniquement exigeantes. Parmi les autres inspirations notables, on retrouve des échos de Chopin dans la « Rêverie » N° 2.

français

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