Organization

Pianist

Roger Pouly

Singer

Mezzo-soprano

Sandrine Montcoudiol

Flore Boixel

Soloist

Opéra Éclaté

Oh ladies!

France

Oh ladies!: Concert

Public

Concert

Approved

Une émission de variété sur scène, mettant en valeur les grandes interprètes de la chanson des années 50/70, avec deux pétillantes animatrice et un pianiste ...

Yolande and Gladys, singers and columnists, accompanied by their pianist Roger (Roger Pouly, the real one, pianist of Charles Trenet, Jean-Roger Caussimon, Cora Vaucaire, etc.) flourish in a repertoire chosen to put into perspective the extraordinary diversity of great interpreters of French song between 1950 and 1970, a pivotal period bubbling and full of hope.
What could be better than the marvelously condensed art of song to continue carrying the Eternal Feminine! Free or chained, women of the world or women of the people, funny, fatal, tragic, tender or ferocious, Yolande and Gladys transport us in a whirlwind of portraits in these queen years of the Music Hall. This recital is presented in the manner of variety shows of the 70s, with excerpts from interviews and unpublished anecdotes.
Humor and irreverence are in order, always high-flying.

English

Yolande et Gladys, chanteuses et chroniqueuses, accompagnées de leur pianiste Roger (Roger Pouly, le vrai, pianiste de Charles Trenet, Jean-Roger Caussimon, Cora Vaucaire…) s’épanouissent dans un répertoire choisi pour mettre en perspective l’extraordinaire diversité des grandes interprètes de la chanson française entre 1950 et 1970, période charnière bouillonnante et pleine d’espoir.
Quoi de mieux que l’art merveilleusement condensé de la chanson pour continuer de porter l’Éternel féminin ! Libres ou enchaînées, femmes du monde ou femmes du peuple, drôles, fatales, tragiques, tendres ou féroces, Yolande et Gladys nous transportent en un tourbillon de portraits dans ces années reines du Music-Hall. Ce récital est présenté à la manière des émissions de variété des années 70, avec des extraits d’interviews et des anecdotes inédites.
Humour et irrévérence sont de mise, toujours de haute volée.

Argument

Dans les années 90, Sandrine Montcoudiol et Flore Boixel, toutes jeunes chanteuses, sont engagées pour chanter dans un spectacle de Music-hall, mis en scène par Olivier Desbordes.
La chance du débutant ? Au piano, on leur offre la Rolls des pianistes : Roger Pouly.
Roger a accompagné Trenet pendant 30 ans, Jean-René Caussimon, Bobby Lapointe, mais aussi Cora Vaucaire, Colette Renard…
Au gré des spectacles, au fil des ans, se tissent entre ces trois artistes des liens amicaux et artistiques profonds, de ceux qui apportent l’évidence, la légèreté et l’abandon ; de ceux qui offrent la possibilité dans l’art si précis et délicat de la chanson, de tout réinventer chaque soir : la liberté, la vraie !
Au fil des tournées, des voyages, des histoires sont transmises, des anecdotes surgissent. Sandrine et Flore ont écouté Roger leur raconter les grandes années de la chanson française entre 1950 et 1970.

Sandrine et Flore, la contralto et la soprano, la brune et la blonde, deux timbres de voix différents et très complémentaires, s’inspirent de ces récits pour créer leur duo : Yolande et Gladys, dans un répertoire entièrement féminin inspiré des interprètes et/ou auteurs phares de ces grandes années du Music-Hall : Barbara, Juliette Gréco, Jeanne Moreau, Patachou, Cora Vaucaire, Colette Renard, Annie Cordy, Jacqueline Maillan, les soeurs Étienne et bien d’autres, pour colporter avec malice et fantaisie, comme une friandise vocale, l’écho émouvant des voix féminines qui ont traversé les décennies.

Roger Pouly a d’ailleurs accompagné certaines de ces artistes, et a pu nous en parler…

Le répertoire a été soigneusement choisi pour permettre à nos oreilles du 21ème siècle d’appréhender ce qui reliait Dalida à Barbara, Annie Cordy à Juliette Gréco…
Ainsi nous passons de la chanson de variété à la chanson d’auteur au gré d’un mot, d’une humeur, d’une pensée.

Une autre particularité du ton donné à ce spectacle vient des interludes qui agrémentent le récital, et qui sont tirés soit de vraies interviews de ces grandes figures de la chanson, soit des souvenirs de Roger Pouly, soit inventés pour l’occasion.
En s’interrogeant l’une l’autre, comme Denise Glaser le faisait si bien dans son Discorama, Yolande et Gladys fournissent ainsi des anecdotes véridiques, et nous permettent au choix de s’étonner de la liberté de ton qui caractérise les années 70 , de se vautrer dans une nostalgie souveraine, de s’immerger dans un monde où les trublions avaient la dragée haute, où la poésie, l’absurde et la fantaisie restent les maîtres du jeu.

français

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