“Anne Derouard, que nous entendions pour la première fois, semble un véritable monstre vocal. Elle réussit à transformer l’air “du sorbet” de Berta en chef-d’oeuvre de belcanto, et dans les ensembles, où elle conserve la partie du dessus, on n’entend qu’elle !”
“Quant au rôle prétendument secondaire de Berta, confiez-le à une Anne Derouard, au soprano superbement articulé et projeté dans l’aigu (« Ma che cosa è questo amore »). Elle en fait une authentique maîtresse femme qui reprend in fine la situation en main ainsi que le suggère fort habilement la mise en scène.”
[…] am Samstag überzeugte darin mir ihrer prägnant entschlossenen, sicher geführten, kraftvollen Stimme die litauische Mezzosopranistin Eglė Šidlauskaitė. […]