On sait un gré infini au metteur en scène Olivier Fredj de faire confiance à l’intelligence des spectateurs (…) Le livret original fait rire, surprend, questionne, bref… fonctionne merveilleusement bien tout seul ! Du reste, la mise en scène est fort habile. (…) Le metteur en scène renoue à sa manière avec l’esprit du spectacle de la création, en suscitant amusement et effets de surprise, y compris dans la chorégraphie. Olivier Fredj ne renie pas la féerie en tant que genre ; il fait par ailleurs efficacement alterner la tendresse, le rire – voire le fou rire, avec également un vrai moment de poésie lors du beau duo d’amour entre Caprice et Fantasia.
« la scénographie concentre toute l’inventivité du spectacle d’Olivier Fredj – la fantasmagorie des costumes fait ça et là penser à Bosch, patronage idéal pour l’esprit de l’oeuvre, revisité de manière plus contemporaine. »