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Martina Franca, Pouilles, Tarente, Italie | Festival

Critiques de productions passés

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Opera italiana, Campogrande
D: Tommaso Franchin
C: Alessandro Cadario
OPERA ITALIANA

"Scellerata, una simpaticissima svalvolata, che ha la voce scura e corposa del contralto Candida Guida; peraltro, per questo personaggio Campogrande prevede anche la possibilità che sia affidata a una cantante jazz"

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OPERA ITALIANA

Scellerata era una travolgente Candida Guida – voce importante che ha dato prova di saper essere virtuosa sino alle estremità del suo range senza mai tradire la necessità di una mimica facciale impeccabile: Chapeau!"

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www.lesalonmusical.itAntonio Smaldone
Игрок, Prokofiev
D: David Pountney
C: Jan Latham-Koenig
Martina Franca: „Le joueur“, Sergej Prokofjew

Die Rolle ist vokal ausnehmend fordernd, aber der Tenor Sergej Radchenko bezwang furchtlos die hohe heldische Tessitura und spielte auch die zwischen ihren Leidenschaften aufgeriebene Figur ausgezeichnet.

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01 août 2022operaclick.com-
Don Chisciotte della Mancia, Paisiello
D: Davide Garattini Raimondi
C: Ettore Papadia
Battle of Cell Phone Addiction

Giovanni Paisiello died 200 years ago on June 5th. Since he was born in Roccaforzata near Taranto and his operas are very rarely found on the repertoire today, there were two reasons for the Festival della Valle d'Itria in Martina Franca to give his works more attention than elsewhere. In the "anniversary year" there is another piece by him on the program alongside La grotta di Trofonio . Also, since this year marks the 400th anniversary of Miguel de Cervantes' death, the choice is Don Chisciotte della Mancia fallen, an opera buffa composed by Paisiello in 1769 at the age of 29 for the Teatro di Fiorentini in Naples. However, the venue chosen was not the inner courtyard of the Palazzo Ducale, but a farm that offers a dreamlike ambience for large-scale celebrations a little outside of the city. With a chamber music cast of six musicians, the adventures of the "Knight of the Sad Figure" can be experienced in an almost intimate atmosphere. Paisiello's librettist Giovanni Battista Lorenzi does not refer directly to chapters 30 and 31 of the second book of the Spanish novella for the plot, but uses a libretto prepared by Apostolo Zeno and Pietro Pariati for Francesco Conti's opera Don Chisciotte in corte della Duchessahad written, which was first performed in Vienna in 1719. In Lorenzi's case, however, it is not two noblemen in love who are courting the beautiful Altisidora, but rather two ladies courting the Duchessa and the Contessa. Don Chisciotte and his servant Sancio Panza burst into the world of these four caricature characters on their campaign to save the imaginary Dulcinea. The Contessa, the Duchessa and their two suitors decide to have fun with Don Chisciotte and pretend that Dulcinea has been kidnapped by the sorceress Melissa and that Don Chisciotte must now rescue him. The Contessa disguises herself as a sorceress and her maid Carmosina slips into the role of Dulcinea, while Don Calafrone and Don Platone play two bearded women, cursed by the sorceress. But Don Chisciotte is not discouraged, much to the delight of society, and takes up the fight against the supposedly supernatural powers. In this context, Lorenzi also includes the famous fight against the windmills, which actually occurs in a completely different place in the novella. In the end, the Duchessa and the Contessa are ready to listen to Don Calafrone's and Don Platone's wooing, and Don Chisciotte embarks on new adventures with Sancio Panza. who actually occurs in a completely different place in the novella. In the end, the Duchessa and the Contessa are ready to listen to Don Calafrone's and Don Platone's wooing, and Don Chisciotte embarks on new adventures with Sancio Panza. who actually occurs in a completely different place in the novella. In the end, the Duchessa and the Contessa are ready to listen to Don Calafrone's and Don Platone's wooing, and Don Chisciotte embarks on new adventures with Sancio Panza.

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www.omm.deThomas Molke
L'incoronazione di Poppea, Monteverdi
D: Gianmaria Aliverta
C: Antonio Greco
Martina Franca, L'incoronazione di Poppea, 29/07/2015

Al Festival della Valle d’Itria il regista Gianmaria Aliverta e il concertatore Antonio Greco firmano uno spettacolo di orizzonti disinvolti e non sempre condivisibili, ma preparano una compagnia di canto tra le più dotate e consce degli ultimi anni. MARTINA FRANCA, 29 luglio 2015 – Quando tornò alle scene contemporanee, nei primi anni del Novecento, L’incoronazione di Poppea fu eseguita in una sfrontata revisione di Vincent d’Indy: tagli drastici, brani riassegnati, scene invertite, situazioni reinventate, musiche limitate a quelle che, in modo dichiarato e generico, il revisore aveva ritenuto le più belle e interessanti. Il nuovo allestimento del Festival della Valle d’Itria – tre recite a Martina Franca, nel chiostro di S. Domenico (16-29 luglio), più altre due nelle vicine Monopoli e Cisternino – riporta la mente a quegli albori non filologici. Anche qui il gioco può piacere o meno, ma si dichiara per ciò che è e afferma chiare le sue regole: se l’opera di Claudio Monteverdi (e collaboratori) è tramandata in due versioni e altrettanti manoscritti, la locandina itriana annuncia una «riduzione drammaturgica» preparata dal regista Gianmaria Aliverta stesso.

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31 juillet 2015www.apemusicale.itFrancesco Lora
Xerse, Caletti-Bruni
D: Leo Muscato
C: Federico Maria Sardelli
Il Xerse de Francesco Cavalli ressuscité à Martina Franca

Aux côtés de deux ouvrages proposés en version de concert de Beatrice di Tenda de Bellini (nous y étions) et de La Scuola dei gelosi de Salieri (nous y reviendrons), deux opéras sont donnés en version scénique au 48ème Festival della Valle d’Itria : Le Joueur de Prokoviev dans sa version originale française et Il Xerse de Francesco Cavalli, dans une nouvelle édition critique. Rappelons que l’ouvrage fut créé à Venise en 1755, et qu'il est surtout resté célèbre après avoir été retenu pour servir d'entertainment juste après le mariage de Louis XIV avec l’Infante d’Espagne (en 1660, dans la colonnade du Louvre), mais dans une version en cinq actes augmentée par de nombreux ballets signés de la main de son compatriote Jean-Baptiste Lully. Un mois après son excellent Tolomeo dans Giulio Cesare à Montpellier, le contre-ténor italien Carlo Vistoli enchante à nouveau dans le rôle-titre, avec son superbe timbre et sa riche émission, soutenus par une remarquable maîtrise du souffle. Il émeut par ailleurs fortement dans son air de déploration, au III, « Lasciatemi morir, stelle spietate ». Bonheur également de retrouver sa compatriote alto Gaia Petrone, déjà plébiscitée in loco il y a trois ans dans Margherita d’Anjou de Meyerbeer, qui offre au rôle travesti d’Arsamene ses magnifiques graves, et sa musicalité sans faille, en même temps qu’un jeu très convaincant. De son côté, la soprano Carolina Lippo chante une Romilda aux aigus pleins et faciles, avec une vraie aisance dans les vocalises ornées de sa partie. La chanteuse kosovar Dioklea Hoxha retient également l’attention dans le rôle d’Adelanta, à qui sont confiés les airs les plus languissants de la partition : avec son soprano sombre et corsé, elle possède une réelle capacité à émouvoir l’auditoire, du moins après avoir joué son rôle de manipulatrice démoniaque avec des arie di furore dans lesquels elle brille tout autant. La tendre Arsamene est confiée à la soprano russo-autrichienne Ekaterina Protsenko, au timbre frais et fruité, parfait pour le rôle. Et si Carlo Allemano (Ariodate) fait entendre désormais une voix un peu fatiguée, rien de tel avec les pétulants Nicolo Donini (Aristone), Nicolo Balducci (Periarco) et Aco Biscevic (Elviro), distribués dans les rôles comiques du livret.

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31 juillet 2022www.opera-online.comEmmanuel Andrieu
Xerse — Martina Franca

La redécouverte de Monteverdi au XXe siècle a eu pour heureuse conséquence celle de Cavalli, son élève et son successeur à Venise, dont les partitions de 27 opéras, sur les 41 qu’il a composés, dormaient dans une bibliothèque de la Sérénissime. Depuis 1952, où la Didone revient sur scène à Florence, les œuvres de Cavalli reparaissent, à Venise, à Glyndebourne, à Santa Fe…Dans les années 70 elles deviennent des enjeux dans le débat, qui semble aujourd’hui dépassé, sur les exécutions « philologiques ». C’est cette option qui est mise en œuvre pour les représentations proposées à Martina Franca, dans l’esprit de la Société Internationale de Musique intitulée Cavalli et l’opéra vénitien du XVIIe siècle, où collaborent musiciens et musicologues, qui annonce pour les années à venir la publication de quinze titres aux éditions Bärenreiter. Si Carlo Vistoli est incontestablement la vedette de la distribution et se montre égal à lui-même dans la démonstration d’une étendue homogène, d’une souplesse, d’une agilité et d’une maîtrise des vocalises comme des trilles, il sait aussi être drôle et odieux en potentat enivré de lui-même et émouvant jusque dans les excès de la prise de conscience finale. Ses partenaires ne sont en rien indignes de lui, de l’Amastre palpitante mais résolue d’Ekaterina Protsenko à l’Arsamene sensible et tourmenté de Gaia Petrone en passant par l’Adelanta envieuse et sans cesse frustrée de Dioklea Hoxha. Evidemment la gentille Romilda a le beau rôle, fidèle, vertueuse, passionnée au point même d’effrayer l’Amour, et Carolina Lippo en fait vibrer tous les aspects avec la virtuosité vocale nécessaire. Des mentions spéciales pour Aco Biscevic et Nicolo Donini, respectivement Elviro, confident de Romilda, et Aristone, celui d’Amastre : ils ont dans leur voix grave une autorité qu’ils savent nuancer et une présence scénique qui donne du relief sans outrance à leurs interventions comiques, le premier se taillant un succès en marchande ambulante avec son étal de fleurs. Une autre mention pour le Periarco de Nicolo Balducci, dont la démarche saccadée rend évidente sa condition de pantin de son maître lointain, dont il rapporte la voix, avec les afféteries liées aux clichés sur les ambassadeurs. Moins enthousiaste, il faut le dire, nous a laissé le vétéran Carlo Allemano, dont la composition scénique, en baderne militariste et patriotarde, est jouissive mais dont la voix qui se veut de stentor a révélé ce soir des signes d’usure.

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31 juillet 2022www.forumopera.comMaurice Salles
Il matrimonio segreto, Cimarosa
D: Pier Luigi Pizzi
C: Michele Spotti
Secret affairs in an Italian summer: Cimarosa's Matrimonio segreto at Martina Franca

Every July and August, the French are known to migrate south to the midi; at the same time, Italians migrate south to the mezzogiorno. For nearly half a century now, opera lovers amongst them – augmented more recently by an increasing clutch of foreigners – make their way to the olive groves, vineyards and hill towns of Puglia, in particular to Martina Franca, the home of the Festival della Valle d’Itria, where they will find opera that’s not in the mainstream repertoire sung by aspiring performers whose careers haven’t yet taken them to the biggest houses. If you’re from the British Isles, you can view it as a cross between Garsington and Wexford, with the addition of a lot of white marble; the operas are performed in the gracious courtyard of the ducal palace.

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04 août 2019bachtrack.comDavid Karlin
Giulietta e Romeo, Vaccai
D: Cecilia Ligorio
C: Sesto Quatrini
Tourism FESTIVAL DELLA VALLE D’ITRIA – Martina Franca – GIULIETTA E ROMEO

Although his name is familiar in every music school, Nicola Vaccaj is almost forgotten as opera componist. Actually, he’s remembered for his Practical Vocal Method, still in use, but at the same time he composed many operas. The most famous is Giulietta e Romeo, that after the first performance in 1825 became so popular that Maria Malibran choose to use its final scene instead of Bellini’s when she performed Capuleti e i Montecchi. Giulietta e Romeo had very few reprises in 1900s so this one in Martina Franca was eagerly awaited.

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kulturkompasset.noBruno Tredicine
Sesto Quatrini & Co. Make Strong Case For Unfairly Neglected Vaccai Opera

This production of “Giulietta e Romeo,” by the Festival della Valle d’Itria, therefore, presents us with a rare opportunity to cast an eye over Vaccai’s most successful work.

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09 août 2018operawire.comAlan Neilson
La scuola de' gelosi, Salieri
C: Danila Grassi
Martina Franca: le insidie del giovane Salieri

Convince il Blasio di Matteo Mancini.

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27 juillet 2022www.lesalonmusical.itAlessandro Cammarano
A Martina Franca il laboratorio de “La scuola de’ gelosi”.

Il Blasio di Matteo Mancini, baritono dalla cavata di voce sensibile e ampia, esibisce facilità e nobiltà di emissione che vorremmo ascoltare anche su altre tessiture, come il Conte delle Nozze, e il Riccardo de I puritani.

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07 août 2022www.musiculturaonline.itAndrea Zepponi
The Bear, Walton
D: Edoardo Zucchetti
Sobresaliente estreno de ‘El Oso’ de Walton

"...un pequeño reparto de implicados y perfectamente conjuntados intérpretes, desde la más que interesante soprano Paloma Chiner como la afligida viuda Popova, el barítono Pablo Rossi Rodino como apasionado Smirnov y el bajo Isidro Anaya como histriónico Luka hasta los actores Aarón Martín y Máximo Esteban como desternillantes criados y, por supuesto, el versátil piano de Tatiana Studyonova."

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13 août 2022www.ritmo.esDarío Fernández Ruiz
Beatrice di Tenda, Bellini
C: Fabio Luisi
Martina Franca: Beatrice delle meraviglie

Biagio Pizzuti pone il suo bel timbro di bronzo lustrato a dare voce e corpo ad un Filippo Maria Visconti sprezzante e al contempo fragile, il tutto su un fraseggio lavorato di cesello.

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26 juillet 2022www.lesalonmusical.itAlessandro Cammarano
La “Beatrice di Tenda” e il premio a Grace Bumbry al Festival della Valle d’Itria

il baritono Biagio Pizzutiin Filippo Visconti ha dato molto dal punto di vista espressivo giocando sul valore della parola ma anche sulla pienezza della vocalità dal timbro perfetto, elegante e calato generosamente sul dramma e anche negli slarghi lirici del tipo Come t’adoro e quanto con gli sbalzi sincopati in acuto ben proiettati e netti.

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28 juillet 2022www.musiculturaonline.itAndrea Zepponi
Baccanali, Steffani
D: Cecilia Ligorio
C: Antonio Greco
Il gioco di baci

Si rimane dunque conquistati dalla Driade di Barbara Massaro, tutta timidezza, pudore e innocenza: la sua linea di canto è così naturale, il suo timbro è così omogeneo, la sua pronuncia è così netta da far dimenticare che alla spalle vi sia un lavoro tecnico, un mezzo attraverso il quale giungere all’immediatezza finale.

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29 juillet 2016www.apemusicale.itFrancesco Lora
Griselda, Scarlatti, Alessandro
D: Rosetta Cucchi
C: George Petrou
Quanti dolori per la povera Griselda, ma quante splendide arie!

...Come la Remigio, Mariam Battistelli non è una specialista di questo repertorio ma con la sua voce limpida e pura e le sue delicate e tenere sfumature espressive fu una meravigliosa Costanza...

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03 août 2021www.giornaledellamusica.itMauro Mariani
Griselda di Alessandro Scarlatti, Festival della Valle d'Itria – Martina Franca 202- Violenza domestica

Mariam Battistelli (Costanza) ha una bella linea di canto, voce molto delicata ed è anche brava attrice

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11 septembre 2021wanderersite.comGuy Cherqui
L'Angelica, Porpora
D: Gianluca Falaschi
C: Federico Maria Sardelli
47° Festival della Valle d’Itria. Griselda e Angelica, generazioni a confronto

Autentica sorpresa della serata, il soprano Barbara Massaro ha interpretato il ruolo di Tirsi trasmettendo intatta la tenerezza del pastorello innamorato, credibilissima per freschezza vocale e immedesimazione scenica in quello che fu il primo ruolo del quindicenne Farinelli.

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L’Angelica di Porpora a Martina Franca

Barbara Massaro che ricordiamo per un ottimo Jemmy nel Guglielmo Tell del Circuito Lombardo, canta in questa serenata il ruolo en travesti di Tirsi: la sua prima aria in tonalità minore “Quando ritorni al fonte” è svolta con un timbro sopranile seducente, intonatissimo, ricco di colore e screziature che rendono le frasi sempre interessanti. Nella seconda parte “Non giova il sospirar” e “Il piè s’allontana” sono cantate con accento languoroso e melanconico assieme, rendendo il personaggio pastorale ben caratterizzato e credibilissimo nella sua passione amorosa.

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Crispino e la comare, Ricci, Luigi
D: Alessandro Talevi
C: Jader Bignamini
Crispino e la Comare

Romina Boscolo (La Comare) è un mezzosoprano con timbro brunito e disomogeneità d’emissione, alcuni suoni sono belli e naturali altri costruiti, suoni strani ma efficaci per creare il mistero; enfatica ed elegante è scenicamente perfetta.

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17 août 2013www.teatrionline.comGiosetta Guerra
Concert, Various
C: Ferdinando Sulla
Tre Pezzi Sacri (G. Testoni), Messa di Milano (G. Rossini) - Conductor

Ferdinando Sulla [...] è una conferma di come esistano nella nuova generazione quelli che non hanno nulla da invidiare, per competenza e profondità, a colleghi più in avanti negli anni. Il gesto esecutivo è sempre in linea con la scrittura e il preciso rispetto degli equilibri strumentali e vocali, la lettura sa essere espressiva e riflessiva, in perfetta linea di realizzazione fattiva col circolo ideale che la composizione si prefigge di creare. [...] ci regala, con naturalezza da gigante, un’esecuzione che fiorisce di parte in parte sino a produrre una sommatoria di elementi che riescono a trasmettere un senso di elevazione collettivo, sottolineato da una coralità di consensi di pubblico che non vorrebbero finire.

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30 juillet 2018LeSalonMusical.it

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