Name: Mahler Symphonie No 4 Kindertotenlieder
Start: 2024-07-10T00:00:00.000Z
End: 2024-07-10T00:00:00.000Z
Location: Le Corum (Palais des Congrès - Opera Berlioz)

Admin

Festival Radio France Occitanie Montpellier

Conductor

Mikko Franck

Orchestra

Orchestre Philharmonique de Radio France

Singer

Melody Louledjian

Soloist

Marianne Crebassa

Soprano

Voice

Mahler / Symphonie No 4 Kindertotenlieder

Montpellier

France

Le Corum (Palais des Congrès - Opera Berlioz)

Opéra Berlioz

Mahler / Symphonie No 4 Kindertotenlieder: Kindertotenlieder Mahler (+1 More)

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Concert

Songs on the Death of Children

Symphony 4

Ayyappa swamy y

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Sobre, précis, expressif...  comment définir le style de Mikko Franck ? 
Christian Merlin, producteur à France musique, décrypte la gestuelle du chef d'orchestre finlandais dans ses moindres détails.

Il préfère la simplicité à la mise en scène et s'appuie sur un visage des plus expressifs. Il respecte scrupuleusement la musique qu'il dirige et éprouve un profond respect pour ses musiciens. 
Ainsi, pour Christian Merlin : « Mikko Franck n'est pas le chef dictateur d'autrefois. C'est un chef qui essaye de convaincre les autres sans imposer sa vision des choses. Il a un rapport très complice avec les musiciens ».

Marqué par la musique classique scandinave, comme celle de Jean Sibelius, Mikko Franck est un chef précoce s'étant produit à la tête des plus grands orchestres du monde.
« Lorsque je lui ai demandé ce que cela faisait d'être un jeune chef, il m'a répondu : "Je ne sais pas, je n'ai encore jamais fait l'expérience de ce que c'est que d'être un vieux chef" »

L’Orchestre Philharmonique de Radio France et son directeur musical accueillent de jeunes musiciens et de prestigieuses chanteuses pour nous offrir un programme entièrement consacré à Mahler.

Là où sont les enfants, là est l’âge d’or, disait Novalis. À un siècle de distance, Mahler fit de cette affirmation l’une des clefs de sa musique. Ses cinq Kindertotenlieder (« Chants des enfants morts ») évoquent le sort des enfants arrachés à la vie : mort tragique, mort injuste qui inspire au compositeur l’un des cycles de lieder les plus poignants du répertoire germanique. La Quatrième Symphonie illustre tout autrement le mythe de l’enfance, ici évoquée comme un paradis. Après trois mouvements instrumentaux qui font appel à un effectif allégé, rare chez Mahler, le finale de la symphonie est un lied qui s’appuie sur un texte du recueil populaire Des Knaben Wunderhorn (« Le Cor enchanté de l’enfant ») qui s’achève par ces mots : « Les voix angéliques réchauffent les cœurs, et tout s’éveille à la joie. »

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