Name: Rencontres Inédites IV
Start: 2024-07-24T00:00:00.000Z
End: 2024-07-24T00:00:00.000Z
Location: Eglise de Verbier

Admin

Verbier Festival

Leonidas Kavakos

Performer

Josef Špaček

Blythe Teh Engstroem

Mischa Maisky

Alisa Weilerstein

Kirill Gerstein

Yunchan Lim

Instrumentalist

Piano

Violin

Violoncello

Pianist

Violinist

Violist

Viola

Cellist

Cello

Rencontres Inédites IV

Bagnes

Switzerland

Eglise de Verbier

Rencontres Inédites IV: Piano Trio No. 2 in C Minor, op. 66 Mendelssohn (+1 More)

Public

Piano Trio No.2 in C minor, Op.66

Piano Quartet No. 2 in E♭ major, op. 87

Akshay C K

Approved

Composed in 1845, Mendelssohn’s Piano Trio No. 2 in dramatic C minor opens not on a melody but a dark, swirling figure, later contrasted by a longer-lined theme. A songlike Andante espressivo follows. Then a Scherzo with a similar fluttering lightness to his Octet. Opening minor-keyed but blossoming later into major-keyed warmth, the triple-time finale has at its centre, strikingly, a noble chorale decorated by fragments of the main theme. Dvořák’s Second Piano Quartet of 1889 is also a mature work. Opening on bold unison strings, its grand Allegro con fuoco constantly shifts between dark and light, urgency and tranquility, muscularity and delicacy. A songlike Lento comes next, built around three themes. Then a Scherzo encasing a merrily racing trio within a Ländler folk waltz. The jubilant Finale also sounds folk-breathed, this time Czech-flavoured, even emulating the dulcimer.

English

Le Trio pour piano N° 2 en do mineur de Mendelssohn, composé en 1845, débute avec une introduction sombre et tourbillonnante, à laquelle s’oppose ensuite un rythme plus longiligne. Un Andante espressivo chantant lui succède, suivi d’un scherzo aérien, rappelant la légèreté de son octuor. Le finale en trois mouvements commence en mineur, mais évolue plus tard vers une tonalité chaleureuse en majeur. Il est caractérisé par un chœur sublime qui intègre des éléments du thème principal. Le deuxième quatuor à piano de Dvořák, datant de 1889, est également un chef-d’œuvre d’une virtuosité extraordinaire. S’ouvrant sur d’audacieux unissons de cordes, son grand Allegro con fuoco passe constamment de l’obscurité à la lumière, de l’urgence à la tranquillité, de la force à la douceur. S’ensuit un Lento chantant, construit autour de trois thèmes, puis un Scherzo intégrant un trio enjoué dans une valse folklorique de Ländler. Enfin, le Finale jubilatoire sonne comme un souffle folklorique tchèques, imitant même le dulcimer.

français

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