Tannhäuser und der Sängerkrieg auf der Wartburg
Opéra en trois actes. Livret du compositeur.
Créé le 19 octobre 1845 à Dresde. Version de Paris créée le 13 mars 1861 Nouvelle production De cour à jardin: Rencontre avec les artistes de la production mercredi 29 avril à 18h En partenariat avec Les Amis de l'ONBA. Cet opéra est un événement Télérama. avec le soutien du Casino Théâtre Barrière de Bordeaux.
Hélas ! Mon coeur, plein de douleur, n'a plus de force et d'espérance.
Tannhäuser, Acte I, scène 4 Inspirée de légendes médiévales, cette fresque romantique créée en 1845 illustre le génie du jeune Richard Wagner. Au-delà du souffle fascinant qui se dégage de la partition, et ce dès l ’ouverture, le compositeur fait un usage envoûtant des fameux leitmotive. De cette littérature musicale unique, mêlant mysticisme et fantastique, se dégage la passion amoureuse des deux héros, Tannhäuser et Elisabeth, ainsi qu’un thème qui hantera le théâtre wagnérien : la rédemption par l’amour. Attention - horaire spécifique Tarif 1 de 8 à 80 € - Durée : environ 3 heures 10 - Un bar est à votre disposition dès 18h45. Extraits de presse : "Après trente-six ans d'absence, Tannhäuser retrouve la scène bordelaise, dans une nouvelle production qui s'avère à la fois scrupuleusement respectueuse des textes (poème et partition, au-delà de quelques saines coupures) et discrètement inventive dans l'assimilation judicieuse et, cependant, non systématique, du héros au jeune Wagner lui-même. (...) Toujours d'une grande tenue, partant volontiers du détail chambriste pour atteindre peu à peu de plus larges proportions, la lecture de Klaus Weise, à la tête de l'Orchestre National Bordeaux Aquitaine, place sa sensible intelligence musicale dans une hauteur de vue qui jamais ne concède à une dramatisation excessive. Outre que l'on appréciera la prestation délicatement nuancée des artistes du Chœur de l'Opéra National de Bordeaux que dirige Jacques Blanc, on ne manquera pas de saluer un plateau vocal judicieusement choisi que caractérisent de nombreuses prises de rôles." - anaclase.com "Pari risqué mais tenu" - forumopera.com "Sous la direction du chef allemand Klaus Weise, spécialiste de ce répertoire, l'ONBA aborde avec souffle et maîtrise la partition de cette oeuvre romantique, passant d'ouragans sonores au velours du haut-bois ou de la harpe." - AFP "Le ravissant écrin du Grand-Théâtre, qui possède une des meilleures acoustiques de France pour une maison d'opéra, n'atténue pas la force de la musqiue wagnérienne, il la magnifie : clair et chaleureux, le son se déploie sans forcer. Surtout dirigé avec autant de maîtrise par Klaus Weise, un de ces grands professionnels trop discrets..." - Le Figaro "Un authentique bain wagnérien que la suite ne démentira pas. Klaus Weise y est pour beaucoup, avec sa baguette à la précision fulgurante, qui donne à entendre à la fois les détails et l'ardeur, le mystère et la générosité d'une partition qui sert l'orchestre - et l'ONBA a du répondant ! - et les chanteurs, accompagnés avec tact." Sud Ouest
